Literatura

IV CORRESPONDANCES (wiersz klasyka)

Charles Baudelaire

La Nature est un temple oů de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'homme y passe ŕ travers des foręts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.


Comme de longs échos qui de loin se confondent,
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et. les sons se répondent.


Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
— Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,


Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens,
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.


przysłano: 5 marca 2010

Charles Baudelaire

Inne teksty autora

Padlina
Charles Baudelaire
Albatros
Charles Baudelaire
Litania do Szatana
Charles Baudelaire
Do Czytelnika
Charles Baudelaire
Oddźwięki
Charles Baudelaire
Modlitwa
Charles Baudelaire
De profundis clamavi
Charles Baudelaire
więcej tekstów »

Strona korzysta z plików cookie w celu realizacji usług zgodnie z Polityką prywatności.
Możesz określić warunki przechowywania lub dostępu do cookie w Twojej przeglądarce.

Zgłoś obraźliwą treść

Uzasadnij swoje zgłoszenie.

wpisz wiadomość

współpraca