Literatura

XXV (wiersz klasyka)

Charles Baudelaire

Avec ses vętements ondoyants et nacrés,
Męme quand elle marche, on croirait qu'elle danse,
Comme ces longs serpents que les jongleurs sacrés
Au bout de leurs bâtons agitent en cadence.

Comme le sable morne et l'azur des déserts,
Insensibles tous deux ŕ l'humaine souffrance,
Comme les longs réseaux de la houle des mers,
Elle se développe avec indifférence.

Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants,
Et dans cette nature étrange et symbolique
Oů l'ange inviolé se męle au sphinx antique,

Oů tout n'est qu'or, acier, lumičre et diamants,
Resplendit ŕ jamais, comme un astre inutile,
La froide majesté de la femme stérile.

przysłano: 5 marca 2010

Charles Baudelaire

Inne teksty autora

Padlina
Charles Baudelaire
Albatros
Charles Baudelaire
Litania do Szatana
Charles Baudelaire
Do Czytelnika
Charles Baudelaire
Oddźwięki
Charles Baudelaire
Modlitwa
Charles Baudelaire
De profundis clamavi
Charles Baudelaire
więcej tekstów »

Strona korzysta z plików cookie w celu realizacji usług zgodnie z Polityką prywatności.
Możesz określić warunki przechowywania lub dostępu do cookie w Twojej przeglądarce.

Zgłoś obraźliwą treść

Uzasadnij swoje zgłoszenie.

wpisz wiadomość

współpraca